Présentation de notre parc d’Autocars de Grand Tourisme

Découvrez un autre constructeur mondial : IVECO Pour tous renseignements, contactez nos agences de Lyon, St Etienne, St Félicien, Annonay, Tournon, Valence. Nous sommes à votre disposition pour des départ du RHONE, de la Loire, de l’Isère, de la Drome et de l’Ardèche MAGELYS IVECO L’AUTOCAR A HAUTE VALEUR AJOUTEE Conçu pour les trajets nationaux et internationaux, le transport de tourisme, les services de navette et le déplacement des grandes équipes de clubs de sport, le Magelys est un autocar personnalisé par une envie de voyager avec un maximum de confort et de sécurité. • Un grand confort pour le conducteur et pour les passagers grâce à un intérieur spacieux baigné de lumière et à un système de loisirs monté à bord • Un style et un design innovant, avec des nouveaux feux et l’intégration de LED Cet autocar dispose de 35 fauteuils inclinables, repose pieds, climatisation, frigo, vidéo, toilettes et GPS.

De belles balades en velo sans se fatiguer et dans la fraîcheur de la montagne

  Faites-vous plaisir à vélo en ne faisant que de la descente. C’est ce que vous propose Les Autocars Chabannes ( Cars du Vivarais ) en prenant le car de la ligne Tournon Lalouvesc (pour seulement 3 € départ de Tournon tous les jours 8h50 et sauf dimanche 12h20), vous installez votre vélo facilement à l’arrière du véhicule et arrivé à Lalouvesc vous descendez tranquillement sur les nombreux sentiers de randonnée. Demandez le plan des sentiers de randonnée à l’office du tourisme de St Félicien au 04 75 06 06 12 SITE INTERNET ARDECHE-HERMITAGE.COM 8 vélos peuvent être accroché à l’arrière du car donc inscrivez vous au 04 75 06 06 00, vous serez certains d’avoir une place.

Le Tyrol

Ceux qui viennent au Tyrol sont immédiatement enchantés par la splendeur du majestueux paysage de montagne qui s’offre à eux. Un univers qui vous touche au plus profond et vous réserve une multitude d’activités. Un monde dont les valeurs se reflètent à travers tous les habitants de cette région, qui souhaitent la bienvenue aux vacanciers en quête de repos.   “Arrivé ici, contraint de passer un moment de repos dans un endroit tranquille, tel que j’en aurais toujours rêvé”, écrit en 1829 Johann Wolfgang Von Goethe en parlant du Tyrol. Oublier son chez soi, échapper au stress du quotidien et se retrouver tout simplement. Voici ce que recherchent les nombreux touristes qui viennent dans cette région montagneuse de l’ouest de l’Autriche. Un univers alpin unique : plus de 500 sommets de plus de 3000 mètres, des crêtes montagneuses dévoilant plus de 600 glaciers différents, de verdoyants alpages et leurs refuges de montagnes typiques qui invitent à s’y reposer dans un cadre idyllique. Deux superbes clochers bulbeux saluent de loin les visiteurs du cloitre de l’abbaye de Stams. Ils furent érigés entre 1650 et 1750 lors des travaux e transformation de l’église abbatiale  romane en style baroque. Cependant la construction du monastère remonte a des temps bien plus anciens 1273 sous le règne du comte de Meinhard II de Gorz Tirol.     Depuis cette époque, ce lieu respectable a connu une histoire mouvementée. L’abbatiale a été rénové entre 1973 et 1985 et Stams est devenu un centre de rencontre sociopolitique. La même année, le pape jean Paul II éleva l’abbatiale de Stams au rang de basilic minor et un an plus tard. Le prix Europa Nostra lui fut décerné pour l’excellent travail de rénovation accompli.   L’espace intérieur de l’église offre un décor majestueux : vous pourrez y admirer ma beauté des fresques de plafond, des stucs et des grilles en fer forgé. Autres pièces remarquables de l’abbaye de Stams : la salle Bernardi, la chapelle de Saint Sang et l’escalier prélats.   Stuiben est une des plus hautes chutes d’eau du Tyrol. Cette chute impressionnante car la dénivellation de 150m est franchie d’un seul saut.   Innsbruck, capital du Tyrol en Autiche, est une ville située dans les Alpes qui est depuis longtemps une destination de sport d’hiver. Innsbruck est également connue pour son architecture impérial et moderne. Le funiculaire de la Nordkette, avec des stations futuriste conçu par l’architecte Zaha Hadid, grimpe du centre ville jusqu’à 2 256 mètres d’altitude permettant ainsi de faire du skis en hiver et de la randonnée ou de l’alpinisme lorsqu’il fait plus chaud.   Sept semaines après la mort de Louis II en 1886, le château de Neuschwanstein fût ouvert au public. Le roi, peu sociable, avait construit ce château pour s’éloigner des foules. Son refuge devient a présent une grande attraction.     Neuschwanstein est l’un des châteaux et châteaux forts les plus visités d’Europe. Environ 1.4 million de personnes par an visitent “le château du roi de conte de fées. E, été, plus de 6.000 visiteurs en moyenne par jour se bousculent dans les salles autrefois prévues pour un seul homme.   Le château est aussi situé dans un paysage idyllique exceptionnel. Mais il faut sans cesse en surveiller le sous-bassement et consolider la paroi rocheuse à pic. Le climat rude attaque les façades en calcaire, ce qui exige toujours de nouveaux assainissements.   Partez a la découverte du la route  alpine ” Silvretta” et de son lac qui offre une vue magnifique. Un arret a la station de St Anton la plus célébre station de skis de sport d’hiver.     Pour d’avantage de renseignements sur le séjour et le circuit prevué, je vous invitent a nous contacter.   Venez vous inscrire dans nos agences de voyages d’Annonay, Tournon et Valence. Un départ des  villes de Drôme et d’Ardèche est organisé avec les Cars du Vivarais pour le transport des voyageurs en autocar de grand tourisme. Consultez le programme de ce voyage dans notre rubrique NOS VOYAGES.  BROCHURES EN LIGNE www.cars-du-vivarais.fr    Chabannes-voyages.fr

Lourdes Assomption

A Lourdes, Inaugurée en 1871, elle a été construite au-dessus de la crypte, première chapelle construite après les apparitions en 1866. Construite dans le style ogival (le premier style gothique français), cette basilique est remarquable par ses vitraux qui retracent l’histoire de Marie. En entrant, on découvre deux niveaux de vitraux : – les hautes fenêtres racontent l’histoire du mystère de l’Immaculée Conception, du paradis terrestre au message de la grotte de Massabielle, située juste en dessous de cette basilique. – Les chapelles latérales racontent l’histoire des apparitions de Lourdes jusqu’à la consécration de la basilique. Certains vitraux du registre supérieur attireront votre attention : à gauche en entrant, le deuxième vitrail représente l’Arche de Noé. Comme l’Arche, la Vierge Marie s’est élevée au-dessus des flots du péché et a porté en son sein le Sauveur. En avançant vers le chœur, vous découvrez trois vitraux remarquables : – au centre, l’apothéose de l’Immaculée Conception en 1858 à Lourdes. Observez son visage qui est celui d’une enfant de 14 ans, comme l’avait décrite Bernadette. – à gauche, vous assistez à la rencontre de Ste-Anne et de Joachim (parents de Marie) : la Vierge est couchée, la tête nimbée de 12 étoiles, le symbole de son Immaculée Conception. – à droite, la proclamation du dogme de l’Immaculée Conception le 8 décembre 1854. Enfin, regardez sur votre droite le double vitrail sur lequel Louis XIII consacre la France à la Vierge Marie, le 15 août 1637, jour de l’Assomption. En sortant de la basilique, empruntez la rampe de gauche pour admirer la vue sur la grotte et le Gave, avant de descendre par l’escalier central vers la seconde basilique. Venez participer aux différentes célébrations religieuses lors de votre séjour du 13 au 16 Aout Vous pourrez aussi partir a la découverte des alentours de Lourdes en passant par Le col du Pourtalet, lieu historique du tour de France. Une balade sous le Pic du midi d’Ossau. Découvrez l’ancienne église du village de St Bertrand de Comminges. Un passage par les gorges de Luz pour accéder au village de Gavarnie pour une visite personelle. Si vous souhaitez d’avantages de renseignements, n’hésitez pas a nous appeler.   Venez vous inscrire dans nos agences de voyages d’Annonay, Tournon et Valence. Un départ des  villes de Drôme et d’Ardèche est organisé avec les Cars du Vivarais pour le transport des voyageurs en autocar de grand tourisme. Consultez le programme de ce voyage dans notre rubrique NOS VOYAGES.  BROCHURES EN LIGNE www.cars-du-vivarais.fr    Chabannes-voyages.fr

LA FETE DES GARDIANS

PROGRAMME Fête des Gardians – ville d’Arles 9h Rassemblement des gardians sur les Lices 9h30 Défilé 10h30 bénédiction des chevaux sur le parvis de Notre Dame de la Major suivie de la Grand’Messe en provençal 12h Remise des pains bénits aux autorités 16h30 Grand spectacle aux Arènes La Confrérie des Gardians Les gardians ont fondé leur confrérie le 2 janvier 1512. Traditionnellement, Georges est le protecteur des cavaliers et des soldats à cheval. Au début du XVIème siècle, la Provence est rattachée depuis peu au royaume de France qui se prépare à la guerre contre les États italiens. Les gardians, appréciés pour leurs qualités de cavaliers, se regroupèrent certainement pour se protéger d’un enrôlement arbitraire dans les armées royales. La Confrérie assurait les obsèques des confrères pauvres et, depuis ses origines, elle sert aussi de caisse de secours mutuel. Elle défendait également les gardians face aux propriétaires qui les employaient. Saint Georges « Sant Jorge, patroun di Gardian » C’est l’un des Saints les plus populaires que les gardians ont choisi comme saint patron à la création de leur Confrérie en 1512. Sa renommée est très ancienne : Constantin lui aurait dédié une église à Constantinople dés le IVème siècle. Son culte est attesté en Palestine au Vème siècle. De sa vie, on ne sait presque rien si ce n’est qu’il était soldat dans l’armée romaine et qu’il aurait était martyrisé vers 303 pendant la persécution de Dioclétien. Ce n’est qu’au XIème siècle qu’apparaît le célèbre épisode du Combat avec le dragon.   Chevalier romain, Georges serait né en Cappadoce. Un jour il traversa une ville terrorisée par un dragon qui dévorait le bétail et réclamait chaque jour deux jeunes gens. Le sort avait désigné la propre fille du roi. La princesse se dirigeait vers le lac où s’abritait le dragon lorsqu’elle croisa Georges qui lui conseilla de s’enfuir. Le soldat se recommanda à Dieu et affronta le monstre. La légende dorée raconte que le dragon fut seulement blessé et que Georges demanda à la princesse de passer sa ceinture autour du cou. Ils ramenèrent le dragon devant les murs de la ville. Là, Georges demanda aux habitants de se convertir. Quand le roi et les habitants eurent reçu le baptême, Georges tua le dragon d’un coup d’épée. Le roi lui offrit beaucoup d’argent qu’il distribua aux pauvres. Pendant les persécutions contre les chrétiens, Georges quitta l’armée, renonça à tous ses biens et rejoignit ses frères pourchassés. Il du subir un martyre effroyable puisque les Orientaux l’ont toujours surnommé le « Grand Martyr ». Selon les différentes versions, on le fit couper en morceaux, jeter dans un puit, avaler du plomb fondu, ou encore donner en nourriture aux oiseaux de proie. A chaque fois Georges invoque Dieu, ignore les souffrances et survit miraculeusement. Il est finalement décapité. Son culte s’étend rapidement. Son tombeau est vénéré à Lydda (Lodd) en Israël. Il est le saint patron d’Istanbul, de Beyrouth où les musulmans le vénère sous le nom de « Khodr », de la Géorgie, Gênes, de Venise, de Barcelone et de la Catalogne et bien sûr de l’Angleterre dont le drapeau national (bannière blanche à croix rouge) reprend celui de Saint Georges. Le combat contre le dragon a inspiré les plus grands peintres notamment Raphaël, Ucello ou Donatello. Comme saint Michel terrassant le démon, saint Georges symbolise la victoire du bien sur le mal. La Fête des Gardians Dès l’origine de la Confrérie, ses statuts prévoyaient une fête religieuse le jour jour de la Saint Georges, le 23 avril, avec messe et procession. La Confrérie fut d’abord abritée dans l’église Saint Georges dont l’emplacement est situé dans l’actuelle intersection de la rue du Cloître et de la rue de la Calade. Lorsque cette église fut détruite en 1647, les gardians se rassemblèrent dans l’église Saint Laurent du quartier de la Roquette, peuplé de marins, de pêcheurs et de gardians. Cet édifice fut fermé à la Révolution, puis désacralisé. On retrouva la Confrérie dans l’église Saint Julien Saint Antoine (actuelle rue du 4 septembre) puis, sans doute à partir de 1802, dans la collégiale Notre-Dame la Major. La Confrérie fut officiellement réorganisée sous la Restauration, vers 1820. Cependant, la deuxième moitié du XIXème siècle aurait pu lui être fatale : la mécanisation de l’agriculture risqua alors de faire disparaître l’élevage de chevaux et par conséquent les gardians dont le métier était de s’occuper des manades. A partir des années 1880, la fête n’est plus célébrée de façon régulière. Ajoutons à cela les dissensions politiques entre Royalistes et Républicains qui s’aggravèrent jusqu’au début des années 1900. En 1902, devant les pressions de la municipalité d’Arles, les gardians organisèrent leur fête à Fourques. Avec l’aide du Félibrige, la Confrérie se réorganisa dans les années 20. Des amoureux de la Camargue, de la « bouvino » et de la « roussatino » (taureaux et chevaux) comme Joseph d’Arbaud, Folco de Baroncelli et Charles Naudot vont renouer avec la tradition de la Fête des gardians. Par exemple, c’est en 1929 qu’est créée la « Prego à Sant Jorge » qui ouvre la cérémonie lorsque la statue pénètre dans l’église après la bénédiction des montures sur le parvis. La fête se déroulait à l’origine le 23 avril, puis un dimanche proche de la Saint Georges. Finalement, après plusieurs changements, c’est en 1984 que la fête fut fixée au 1er mai. Notre-Dame la Major et les Gardians Située au sommet de la colline qui porte la vieille ville d’Arles, la Major était l’église du quartier de la Hauture et sa paroisse s’étendait aussi sur la plus grande partie de la Crau. Considéré comme l’un des plus anciens sanctuaires d’Arles, elle été certainement fondée à l’emplacement d’un temple païen au Vème ou au VIème siècle. Reconstruite au XIIème siècle, elle garde de cette époque sa nef en style roman provençal. Les chapelles latérales gothiques sont venues s’y greffer entre le XIVème rt XVIIème, époque où l’on reconstruit le chœur. Au Moyen-âge, c’est la paroisse des consuls qui y déposent un fragment des reliques de Saint Marc, offert dit-on par la Cité de

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